Des extraits du dernier Midnight Ukulele Disco sont en ligne. Une émission exceptionnelle avec Jake Shimabukuro qui donne une interview, qui explique un motif rythmique et c’est assez savoureux, pendant un concert avec des tapings de métal un peu lourd mais passé ça c’est bien, et surtout qui joue »While My Guitar Gently Weeps » et ça on peut le regarder et l’écouter des dizaines de fois en avant en arrière au ralenti. On voit aussi dans les extraits Steve Evans des ukuleles Beltona qui joue sur un de ses sopranos et parle de la fabrication des ukulélés Beltona ou de Tiny Tim. Et enfin Jason vient de m’avertir qu’il a rajouté un clip de Patsy Monteleone en grande forme et toujours avec une grande classe.
En bref une tuerie.
Et bien zut de zut ! toujours pas possible pour moi de savourer tout ça, il veut pas lire, l’ordi… En fait je ne sais toujours pas comment on fait pour charger le le système qui permet de voir et entendre, car je suis brêle en informatique ! Bon, pour une fois, il ne pleut pas dans mon patelin, alors ça sera moins dur à vivre !
c’est con parceque c’est super a voir! désolé john, je n’est pas encore eu le temps de t’envoyer le cd, mais je suis bientot en vacances…
adishats, tom –BO)
Tu sais, Tom, c’est l’amitié qui compte pour moi avant tout, enfin, après l’amour, bien sûr, alors prends ton temps !
Par contre, j’ai le plaisir d’informer Karl que mon enregistrement instrumental de " Mr Jelly Lord " est en bonne voie. Pour la première fois, grande première, et bien j’ai risqué un solo en " slide " ( en fait, j’ai utilisé mon briquet, car je briquole ). Le plus dur, c’est d’obtenir un son de clarinette créole à la Omer Siméon, car à l’époque les clarinettistes ils jouaient sur des clarinettes " Albert ", qui ont un son très rond et une sacrée puissance. Alors pour se rapprocher de ce son, il faut mettre une anche épaisse. De même le phrasé, il était différent selon qu’on était né dans les docks, pour ne pas dire dans la rue, ou bien si on avait eu la chance d’apprendre avec le célèbre professeur Lorenzo Tio, comme Barney Bigard, Albert Nicholas ou Jimmy Noone.
Bon, je m’égare, je m’égare. Pour revenir au ukulélé, et bien j’ai l’impression qu’il a été content de jouer sur ce joli morceau de Morton. Alors, Karl, encore merci pour ta gentillesse !
Olàlàlàlà, celui là, il est vraiment énorme !
Jake, ça fait 3 mois que je voulais le voir jouer, et puis While my guitar gently weeps… god damn. Et puis la petite chansonnette de Patsy Monteleone me donne envie de prendre un uke et de siffler, là 🙂
c’est vrai que sa version de while my guitar fout des frisson!!! a quand la partoch?
ha vous l’aviez vu Patsy déjà !
Le reportage sur la fabrication des beltona c’est chanmé aussi.
Ah la la ! vous me faites saliver, les amis !
Oui bon, while my guitar c’est spectaculaire, mais quand même, il se la pète un peu non ? C’est un martien question technique, mais pour moi ce qui en sort n’est pas musicalement à la hauteur d’un bon vieux Cliff Edward ou même George Formby.
Comme j’aimerai avoir le quart de sa technique, pour pouvoir utiliser un dixième de ce quart en public. Mais apparemment trop de travail tue la musique… Peut-être que je suis aussi bien avec mes 4 zaccords de Souchon (la vie de vaut rien)
C’est vrai que les virtuoses techniques sont parfois pénibles, mais parfois ils ont des moments de grâce – là je trouve que c’est quand même magique. C’est comme Hill, sur disque c’est pas forcément super agréable (mais ça dépend des morceaux), en live si il se lache un peu on sent quand même la musicalité.
Je dis ça mais mes artistes préférés ne sont pas souvent des virtuoses ni même de très bons interprètes dans une acceptation classique du terme.