Emilyn Brodsky est le genre d’artiste discret qu’on aime bien découvrir au hasard d’une escale dans un bar ou – moins romantiquement – de pérégrinations sur internet. Avec sa voix un peu éraillée, elle harmonise parfois approximativement sur des chansons accompagnées, bien sûr, au ukulélé. Tout ça est pourtant très loin d’être niais et baigne dans une poésie aux légers accents trash assez troublante. (merci à Marie des Furieux Marie, Darling! pour le tuyau)
J’ai écouté, j’ai aimé, et maintenant j’écoute ça en boucle jusqu’à plus soif!
Vive les approximations!
Pareil que theou, une très jolie découverte, plus on l’écoute et plus on devient accro…Encore une fois une petite ambiance à la Cocorosie en moins maniéré.