Une autre page particulièrement intéressante sur le site de l’ICA, c’est celle qui présente les films de Gaston Guilbert, avec cet intrigant Tahitian Melodies – un montage mélangeant noir et blanc et couleur, rempli pour moitié de guitare hawaiienne, qui nous montre des images d’un orchestre tahitien avec accordéon (qu’on n’entend malheureusement pas dans la bande son, mais on ne voit pas de guitare hawaiienne non plus). Complètement charmant, en coupant le son on peut aussi essayer d’observer quelques strums.
Guilbert avait souvent tourné avec du son, ne serait-ce que ses nombreux Scopitones, mais sa production mal stockée a été endommagée et tout le travail de restauration de ses films entrepris depuis quelque temps est de l’image avec quelquefois du son rajouté qui n’est pas l’original. Ils ont remis du son parce qu’il savaient qu’il y en avait au départ, mais ce n’est pas le même. C’est fait très sérieusement, avec des enreistrements d’époque, mais quand ce sont des musiciens à l’image, et pas les même instruments que l’on entend, des fois, ça craint un peu.
Uncle C
Guilbert avait souvent tourné avec du son, ne serait-ce que ses nombreux Scopitones, mais sa production mal stockée a été endommagée et tout le travail de restauration de ses films entrepris depuis quelque temps est de l’image avec quelquefois du son rajouté qui n’est pas l’original. Ils ont remis du son parce qu’il savaient qu’il y en avait au départ, mais ce n’est pas le même. C’est fait très sérieusement, avec des enreistrements d’époque, mais quand ce sont des musiciens à l’image, et pas les même instruments que l’on entend, des fois, ça craint un peu.
Uncle C