Roger Parry à Tahiti (1932)

Peintre, illustrateur, caricaturiste, graphiste, scénographe du Musée imaginaire d’André Malraux, metteur en page et en lumière des vingt-cinq premiers volumes nrf – Gallimard de la collection Univers des formes, photographe surréaliste, Roger Parry fut aussi pour Match, Vu ou Miroir du Monde, un grand reporter au regard neuf.

Les photos et dessins qu’il rapporta de Tahiti en 1932 donnent une assez bonne idée des instruments de musique joués en Polynésie française cette année-là, montrant à l’occasion quelques ukulélés kamaka en intéressante situation.

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R. Alex Anderson (1894 – 1995)

On lui doit Mele Kalikimaka, Lovely Hula Hands, Malihini Mele, Haole Hula et de nombreux autres standards figurant toujours sur la liste des favoris chez les joueurs d’ukulélé.
Les Hawaiiens disent de R. Alex Anderson qu’il fut le plus hawaiien des compositeurs de chansons hapa haole. Un compliment savoureux quand on sait qu’il était totalement haole, de pure lignée écossaise, et ne se mettait à l’ukulélé ou au piano qu’en amateur, lorsque le monde des affaires, le sport, le pilotage des avions, les voyages et les soirées mondaines lui en laissaient le loisir.

Retour sur cette grande figure de la musique hawaiienne.

BIOGRAPHIE INÉDITE

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Catégorie : Non classé

TOPOLINO

Nombreux sont les artistes qui ne lâchent le pinceau que pour l’ukulélé et ne lâchent l’ukulélé que pour le croquer avec la même patte qu’ils le strumment et le strokent.
Boulet, Capucine, Pipof (ici et ) ont dessiné des affiches de hui, Dorothée introduit son instrument favori dans ses ouvrages … Impossible de dresser ici une liste complète, il y en a tant d’autres ! Nous leur consacrerons des expos personnelles.
Les cimaises d’ukulele.fr ont déjà accueilli ainsi les œuvres marquantes de Glen Baxter et celles de Marie Laurencin.

Aujourd’hui : TOPOLINO aka Marc Combas, artiste sétois (« il aimait tant Sète qu’il décida d’y naître » aurait dit de lui Vialatte), pilier du Musée International d’Art Modeste. En dehors de ses nombreuses expos, il tient une truculente gazette animalière de la vie artistico-mondaine en l’île singulière, couvre de croquis ses carnets de voyages entre Lisbonne, Paris, Bourges, New York, complète journellement sa collection de Silly Songs et joue bien sûr l’ukulélé, parfois avec d’autres célébrités sétoises comme le Général Alcazar.
On retrouvera d’ailleurs tout ce joli monde, augmenté de Pascal Comelade, Gilles Tandy, Tony Truant et les Sans Pattes de Robert Combas à l’occasion d’un concert à Sète le 25 juin.

AUTOBIOGRAPHIE ET GALERIE

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TOPOLINO

Nombreux sont les artistes qui ne lâchent le pinceau que pour l’ukulélé et ne lâchent l’ukulélé que pour le croquer avec la même patte qu’ils le strumment et le strokent.
Boulet, Capucine, Pipof (ici et ) ont dessiné des affiches de hui, Dorothée introduit son instrument favori dans ses ouvrages … Impossible de dresser ici une liste complète, il y en a tant d’autres ! Nous leur consacrerons des expos personnelles.
Les cimaises d’ukulele.fr ont déjà accueilli ainsi les œuvres marquantes de Glen Baxter et celles de Marie Laurencin.

Aujourd’hui : TOPOLINO aka Marc Combas, artiste sétois (« il aimait tant Sète qu’il décida d’y naître » aurait dit de lui Vialatte), pilier du Musée International d’Art Modeste. En dehors de ses nombreuses expos, il tient une truculente gazette animalière de la vie artistico-mondaine en l’île singulière, couvre de croquis ses carnets de voyages entre Lisbonne, Paris, Bourges, New York, complète journellement sa collection de Silly Songs et joue bien sûr l’ukulélé, parfois avec d’autres célébrités sétoises comme le Général Alcazar.
On retrouvera d’ailleurs tout ce joli monde, augmenté de Pascal Comelade, Gilles Tandy, Tony Truant et les Sans Pattes de Robert Combas à l’occasion d’un concert à Sète le 25 juin.

AUTOBIOGRAPHIE ET GALERIE

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