Vœux de Tahiti
Cette année, une des plus jolies cartes de vœux ukulélé nous parvient, musicale et animée, par les voies officielles, de monsieur Richard Didier, Haut-Commissaire de la République en Polynésie Continuer la lecture
Cette année, une des plus jolies cartes de vœux ukulélé nous parvient, musicale et animée, par les voies officielles, de monsieur Richard Didier, Haut-Commissaire de la République en Polynésie Continuer la lecture
Au matin de Noël. (Photo courtesy of chordmaster.org) Gageons que les ukulélés étaient nombreux ce matin au pied des sapins. En attendant de savourer le résultat sonore qui en Continuer la lecture
L’ami uncle vient de mettre en ligne un blog The Martin Tiple enfin dédié au petit instrument à dix cordes métal, cousin de l’ukulélé, que la maison Martin imagina Continuer la lecture
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Palmarès Formidable et remarquable participation au grand Cha Cha Contest que UkeHeidiUkeAida aka wromble lançait il y a un mois ici-même. Trente-trois films du monde entier en compétition, un Continuer la lecture
Dans un précédent billet, nous évoquions Marie Crump et Bobby Edwards, deux figures de l’ukulélé dans le New York bohemian de 1917. Signalons que Doug Skinner a enrichi la documentation de quatorze posts publiés sur le site Ullage Group : chansons et dessins de Bobby, pages de son magazine The Quill, docs, photos.
Mais au-delà de Bobby, Crumpey et quelques autres illuminés d’un réel éclat, l’ukulélé avait pendant la décennie 1910 conquis tout Greenwich Village, jusqu’à devenir accessoire emblématique, signe de reconnaissance, et donc hochet obligé de la faune pseudo-artiste locale, dite bohemian – comme on dit bobo, un siècle plus tard à Paris.
Pendant le week-end, les excentriques du Village attiraient une foule de touristes venue picorer un peu de branchitude pour la répandre par-delà les ponts et les tunnels. La caricature s’en donna à cœur joie :
Dans un précédent billet, nous évoquions Marie Crump et Bobby Edwards, deux figures de l’ukulélé dans le New York bohemian de 1917. Signalons que Doug Skinner a enrichi la documentation de quatorze posts publiés sur le site Ullage Group : chansons et dessins de Bobby, pages de son magazine The Quill, docs, photos.
Mais au-delà de Bobby, Crumpey et quelques autres illuminés d’un réel éclat, l’ukulélé avait pendant la décennie 1910 conquis tout Greenwich Village, jusqu’à devenir accessoire emblématique, signe de reconnaissance, et donc hochet obligé de la faune pseudo-artiste locale, dite bohemian – comme on dit bobo, un siècle plus tard à Paris.
Pendant le week-end, les excentriques du Village attiraient une foule de touristes venue picorer un peu de branchitude pour la répandre par-delà les ponts et les tunnels. La caricature s’en donna à cœur joie :
Le fantastique ukuléliste canadien lance une souscription afin de financer la production de son prochain CD. Selon la hauteur et l’énergie du coup de main apporté à ce sympathique Continuer la lecture
Tony Coleman et Margaret Meagher ont trouvé une manière originale et généreuse de souhaiter une bonne année aux ukuléléphiles : une série de vidéos issue du (long!) tournage de Continuer la lecture
UAS (Ukulele Acquisition Syndrome) reste le terme anglo-saxon le plus couramment utilisé pour désigner le Syndrome d’Achat Compulsif d’Ukulélés – la pedontophteirokatagoraxomanie, selon le Pr Wromble qui a isolé Continuer la lecture